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Retour30 octobre 2024
Que faire après une médiation familiale?
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La vie familiale n’est pas toujours rose, même qu’elle amène parfois son lot de circonstances dramatiques. C’est ainsi que, après des années de bonheur, deux conjoints pourraient envisager de se séparer ou de divorcer. Évidemment, aussi personnels soient-ils, ces moments impliquent toutefois une saveur légale, la plupart du temps. La médiation familiale pourrait alors jouer un grand rôle dans le déroulement des opérations.
Qu’est-ce que la médiation?
En fait, il s’agit d’un processus opéré avec les deux parties d’un différend familial, c’est-à-dire deux conjoints ayant opté pour la voie du divorce. La médiation prévoit la mise en place de discussions avec un médiateur, afin que les conflits puissent se résoudre sans besoin d’aller devant les tribunaux. La plupart du temps, ce sont les enfants du couple qui sont au cœur des négociations, notamment en ce qui concerne la garde de ces derniers et la pension alimentaire qui devra être versée.
La médiation prévaut la communication en vue d’une résolution à l’amiable des mésententes. Par ailleurs, si la médiation a eu l’effet escompté et que les deux conjoints sont parvenus à une entente, quelles seraient les étapes suivantes à effectuer?
Et après?
Une fois la médiation familiale terminée, il est possible d’ajouter du poids à la décision prise d’un commun accord, en faisant homologuer l’entente. Le tout, auprès d’un greffier, rendant dès lors ledit accord valable aux yeux de la légalité. D’ailleurs, dans le cas d’une homologation de l’accord, la responsabilité de percevoir les pensions alimentaires reviendrait à Revenu Québec, sauf si une clause de l’entente exempte les conjoints de cette obligation.
À l’inverse, si l’entente n’était pas homologuée, c’est tout comme aucun jugement n’aurait été entendu. Le paiement de la pension ne serait pas perçu par Revenu Québec, signifiant que la responsabilité d’un tel paiement reviendrait aux deux anciens conjoints. Puis, un jugement du tribunal devra être entendu pour que le divorce soit déclaré légal et reconnu. Qui plus est, peu importe la façon dont la médiation s’est terminée, il est possible de poursuivre les discussions, au moyen de séances gratuites. De tels bouleversements survenant au sein de la famille ne sont guère plaisants, en particulier si des enfants sont impliqués. C’est pourquoi la médiation familiale s’avérerait salvatrice et ce, à bien des égards!
Une assistance expertisée
La médiation comporte son lot d’avantages, en éloignant notamment deux conjoints d’un processus juridique long et éreintant. La médiation s’amène alors comme un réel vent de fraîcheur, en particulier si le médiateur est expertisé dans le domaine. De ses connaissances avérées et de son bagage assumé dans le domaine familial, il mettra rapidement les deux anciens amoureux en confiance, en vue d’une résolution rapide et efficace du conflit. Le médiateur pourrait également apporter son aide et son soutien légal après le processus, pour une homologation simple de l’entente ou encore la poursuite des démarches de médiation, afin que l’ex-couple puisse profiter d’une fin de relation moins périlleuse. Pourquoi ne pas le contacter dans les plus brefs délais?